Sniffons du cerveau

Ce magnifique et rafraîchissant document datant du siècle dernier, pose une question radicale quant à l'usage des drogues.

En effet, usage de drogue : Une substance agissant sur le cerveau est prise volontairement pour ses effets sur la perception.

Pourquoi alors, ne pas utiliser directement les molécules produites par ce dernier plutôt que des drogues classiques imitant pour l'occasion la fonction des neurotransmetteurs.

Traduction grossière :
"Certains disent que des neurotransmetteurs purifiés peuvent être sniffés et procurer ainsi une expérience unique comme le ton ou l'harmonique dans une note de musique.

Je ne me souviens plus des pérequis chimiques qui rend sniffable une molécule organique. Cela a quelque chose à voir avec une histoire d'électron délocalisé ou un truc dans le genre. Je ne peut pas sniffer du GABA ou du glutamate bien que parfois j'ai une odeur amère après avoir éternué, un ami chercheur me dit que ce serait l'odeur de l'histamine. J'ai tendance à le croire parce que j'ai remarqué cette odeur dans les inhaleurs pour ashmatiques qui usent probablement de ce genre de composés moléculaires (antihistaminiques, donc des molecules proches de l'histamine qui se substituent aux récepteurs histaminiques".